Suite aux propos du Président de la République lors de la clôture du 50ème anniversaire du congrès de la Conférence des présidents d'universités, j'ai interrogé Mme Frédérique Vidal, ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche, et de l'innovation, afin de lui demander si elle souhaitait sincèrement remettre en cause la gratuité de l'enseignement supérieure public, et ce qu'elle comptait mettre en place pour remédier réellement aux maux dont souffrent l'université et les étudiants.
La vidéo de la séance des questions au gouvernement est disponible en cliquant ici. Question au gouvernement sur les prélèvements forcés d'organes et la Convention de Compostelle12/7/2021
Alors que devait être examinée la Convention du Conseil de l'Europe contre le trafic d'organes humains, dite convention de Compostelle, le 9 décembre en séance, nous avons appris mardi matin 7 décembre qu'elle avait été retirée de l'ordre du jour de l'Assemblée nationale. Pourtant, ce même 9 décembre, le Uyghur Tribunal rendra son jugement sur les crimes contre l'humanité et le risque sérieux de génocide en cours contre les Ouïghours. J'ai donc demandé au ministre si ce retrait de l'examen de la Convention de Compostelle était un signe de renoncement ou au contraire le signe d'une prise de conscience. J'ai également demandé si le gouvernement donnerait un avis favorable à ma proposition de loi visant à s'assurer du respect des principes éthiques du don d'organes par nos partenaires non-européens. L'intégralité de mon intervention ainsi que la réponse de M. le Ministre Jean-Baptiste Lemoyne sont disponibles en vidéo ci-dessous. Lors de la séance des questions au gouvernement, j'ai demandé au ministre des Solidarités et de la Santé si les moyens nécessaires allaient enfin être engagés pour mener à bien la réforme de l'APL sur le terrain, dans des conditions décentes pour les allocataires et pour les salariés. J'ai également demandé si allait être décidé un moratoire sur les suppressions de postes, dans le cadre des négociations de la prochaine COG.
Pour lire en intégralité le compte-rendu de ma question ainsi que la réponse de M. Adrien Taquet, secrétaire d'Etat chargé de l'enfance et des familles, cliquer sur "read more".
La #PPLorganes n'a pas été examinée jeudi dernier mais je continuerai ce combat pour qu'elle soit remise à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale, comme de nombreux citoyens nous le demandent. C'est notre humanité qui est en jeu.
Pour retrouver l'intégralité de ma question au gouvernement ainsi que la réponse de M. Marc Fesneau, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement et de la Participation citoyenne, cliquer sur "read more". QAG - Syrie : Il faut rapatrier les adultes pour les jugés et les enfants pour les protéger.3/24/2021
Vous pouvez retrouver l'intégralité de ma question ainsi que la réponse du M. Jean-Baptiste Lemoyne, Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, chargé du Tourisme, des Français de l'étranger et de la Francophonie, en vidéo, en cliquant sur "read more".
J'ai demandé au Gouvernement s'il n'était pas temps de réinterroger en profondeur le projet de liaison express entre Paris et l'aéroport Charles de Gaulle.
A l'aune de plusieurs rapports, du retard du chantier du Grand Paris Express, de la crise sanitaire, économique et sociale, et alors que nos transports au quotidien comme le #RERB ont besoin de modernisation, cette liaison ferroviaire est devenue obsolète. Le gouvernement, le 17 novembre dernier, indiquait que des réévaluations étaient nécessaires pour la construction du terminal 4 de l'Aéroport Roissy Charles-de-Gaulle, notamment du fait de la crise de la Covid-19. Pour le CDGExpress, il n'y a en revanche aucune remise en question de la part du gouvernement, alors même que le modèle économique était déjà fragile avant la crise de la Covid-19, et qu'il l'est d'autant plus aujourd'hui. Ce projet nous concerne tous : il aura des conséquences néfastes sur les transports au quotiidien des franciliens, et l'Etat étant garant de ce projet en cas de déficit d'exploitation, se sont tous les Français qui seront mis à contribution. Pour retrouver la vidéo de l'intégralité de cette question orale sans débat ainsi que la réponse de Mme Bérangère Abba, secrétaire d'Etat chargée de la biodiversité, vous pouvez cliquer sur "read more". "Dès le 9 janvier, nous savions que le variant britannique représentait 1 % des contaminations, que la dynamique de sa courbe épidémique était amorcée et que sa progression était inéluctable. Depuis hier, nous savons qu'à Paris, la part du variant est passée à 10 % – avec une semaine d'avance sur les projections des modélisations effectuées début janvier – et que celle du variant sud-africain s'établit à 1 %. Cela démontre donc de manière factuelle que les mesures de couvre-feu ne sont pas suffisantes pour contenir l'expansion du variant. Mi-février, nous serons au cœur de la vague dont on constate déjà les dégâts en Grande-Bretagne ; mi-mars, le variant sera devenu majoritaire.
Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, en laissant passer encore une semaine avant de prendre des mesures fortes, ne risquez-vous pas de laisser s'aggraver la situation ? Il s'agit de tenir compte non pas de la pression qu'exerceraient les scientifiques, comme certains l'avancent, mais de faits objectifs, établis par les scientifiques dans leur ensemble. En outre, j'ai été informée que nous allons vraisemblablement devoir affronter une pénurie mondiale des consommables utilisés par les laboratoires. En France, les remontées d'informations sont alarmantes : il existe une tension sur les embouts de pipettes, les tubes pour le sérum, les tubes Eppendorf et, de manière plus générale, sur le petit matériel de laboratoire, essentiel pour réaliser les tests PCR, déterminer la sérologie ou procéder au séquençage. Certains laboratoires et hôpitaux n'ont plus de stocks, d'autres en ont seulement pour dix jours ou alors deux mois et les fournisseurs ne sont pas rassurants. Dès que les stocks seront épuisés, tout le diagnostic biologique sera affecté. En réalité, toute la filière du polypropylène est en surchauffe. Monsieur le ministre, peut-on imaginer une seule seconde de mettre à l'arrêt une partie des recherches, de ne plus diagnostiquer les malades et de ne plus rechercher les variants ? Avez-vous anticipé une réorientation des filières françaises des plastiques vers la production de ce type de matériel ? Cela ne s'improvise pas car une telle réorganisation prend du temps." Pour retrouver la vidéo de la question ainsi que la réponse de M. Olivier Véran, cliquer sur "read more". "Les chiffres du chômage sont durablement dégradés et la pauvreté explose. Dans un contexte à ce point anxiogène, il est fondamental d’offrir des perspectives rassurantes à nos concitoyennes et à nos concitoyens, à celles et ceux qui se sont retrouvés du jour au lendemain sans travail, à ceux qui n’ont pas pu signer ou renouveler leur contrat, à ceux qui savent leur emploi menacé. Madame la ministre, nous vous le demandons : abandonnez cette réforme injuste et obsolète !" Retrouvez ci-dessous en vidéo ma question en intégralité ainsi que la réponse de Mme Elisabeth Borne, ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion. |
Pour retrouver mes questions écrites, vous pouvez cliquer sur le bouton ci-dessous
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