Lors de l’examen de ce projet de loi, je suis intervenue au nom de mon groupe, le groupe Libertés et Territoires. J’ai rappelé que dans le contexte de tensions croissantes, il était plus que nécessaire de promouvoir le multilatéralisme et une gouvernance maritime ordonnée. J’ai également affirmé que ce texte y contribuera, bien que modestement, et que le groupe Libertés et Territoires le soutenait. L'intégralité de mon intervention est disponible ci-dessous. Pour lire mon intervention, cliquer sur "read more"
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Lors de l'examen de ce rapport, je suis intervenue au nom de mon groupe, le groupe Libertés et Territoires. Vous pouvez regarder l'intégralité de mon intervention ci-dessous. Lors de l’examen de ce rapport, je suis intervenue pour mon groupe. J’ai notamment rappelé que le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères français avait lui-même parlé en Chine d’un système de surveillance et de répression institutionnalisé à grande échelle. Ce constat existe donc la conclusion immédiate donnée était qu’il faudrait surtout se rapprocher de ce pays, de coopérer de manière plus forte avec lui pour pouvoir rééquilibrer nos rapports avec les Américains. Ci-dessous, l'intégralité de mon intervention en vidéo. Pour lire l’intégralité de mon intervention sur ce sujet, cliquer sur « read more ». Le 26 janvier 2022, une réunion sur la situation des populations ouighoures au Xinjiang a été organisée en Commission des Affaires étrangères. Ont participé à cette réunion Mme Cloé Drieu, chercheure au Centre d'études turques, ottomanes, balkaniques et centrasiatiques du CNRS, M. Geoffrey Nice, avocat au barreau de Londres, juge au "Tribunal Ouighour" de Londres, Mme Kalbinur Sidiq, réfugiée ouighoure, et M. Adrian Zenz, anthropologue, spécialiste de la Chine et des civilisations ouighoure et tibétaine. J'ai bien sûr participé à cette réunion et je suis intervenue à plusieurs reprises. Pour voir l'intégralité de cette audition, cliquer ici.
Nous avons présenté, avec ma collègue Brigitte Liso, notre rapport sur les droits des femmes dans le monde et l'application de la Convention d'Istanbul devant la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.
Ce rapport, qui s'intitule "Les violences faites aux femmes dans le monde : combattre un mal qui ne cesse de s’amplifier malgré des avancées" fait un état global de la situation. Il montre que si des textes existent à différentes échelles pour protéger les femmes, la mise en pratique est loin d'être satisfaisante sur le terrain. Il présente des outils concrets pour avancer sur ce difficile chemin. Pour lire notre rapport dans son intégralité, cliquer ici. Pour voir la présentation de notre rapport en Commission des Affaires étrangères : cliquer ici. Le 23 novembre 2021, nous examinions en Commission des Affaires étrangères le projet de loi autorisant la ratification de la Convention du Conseil de l'Europe contre le trafic d'organes humains. Lors de cet examen, j'ai pris la parole pour mon groupe Libertés et Territoires. J'ai rappelé que la France avait émis des réserves fortes sur ce texte, et qu'en le ratifiant, nous nous donnons bonne conscience, mais que sans action supplémentaire contre ce fléau, nous n'influerons aucunement la réalité.
Mon intervention est disponible en intégralité ci-dessous, en cliquant sur "read more". L'intégralité du compte rendu de cet examen en Commission des Affaires étrangères est disponible en cliquant ici. Lors de l'examen de cette proposition de résolution européenne, je me suis exprimée au nom de mon groupe Libertés et Territoires. J'ai rappelé que la France serait plus crédible pour défendre le multilinguisme au niveau européen si elle le faisait véritablement au niveau interne.
Pour lire l'intégralité de mon intervention, cliquer sur "read more". Pour retrouver l'intégralité du compte-rendu de la réunion de la Commission des Affaires européennes, cliquer ici. Cliquez ici pour retrouver mon intervention.
Le 11 mai 2021, la Commission des Affaires étrangères et la Commission de la Défense et des forces armées auditionnaient monsieur Vincent Duclert, président de la commission de recherche sur les archives françaises relatives au Rwanda et au génocide des Tutsi (1990-1994). Vous pouvez retrouver ci-dessous mon intervention lors de cette intervention ainsi que la réponse qui m'a été apportée par M. Duclert. Le 5 mai 2021, nous avons auditionné le Docteur Denis Mukwege, Prix Nobel de la Paix 2018, dans le cadre de la Commission des Affaires étrangères. J'ai rappelé que le Dr Denis Mukwege était menacé en République démocratique du Congo car il dénonce les violences commises à l'encontre des femmes et des filles et l'utilisation du viol comme arme de guerre dans son pays. J'ai également rappelé que j'ai écrit un courrier, cosigné par 29 de mes collègues, sur la situation dans la région des Grands Lacs, en RDC (courrier disponible ici). Ce courrier était à l'attention du Président de la République française, et il comportait un certain nombre de requêtes. Aussi, durant l'audition, j'ai posé la question suivante : "Si en tant que député(e)s nous ne sommes pas entendus, avez-vous de votre côté obtenu satisfaction sur ces demandes ou une partie de ces demandes, que nous avons faites en votre nom et pour vous protéger? Dans le cas contraire j'appellerai l'ensemble de mes collègues de la Commission des Affaires étrangères à interpeller de nouveau le Président de la République afin que nos actes soient conformes à nos mots." |